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Ne pas bronzer idiot !

Rencontres Libertaires d’Eychenat 2010

Du Samedi 24 juillet au Jeudi 5 août

mardi 3 août 2010, par Administrateur OCL Web

Chaque année, l’ OCL et l’OLS organisent des Rencontres ouvertes à celles et ceux que les thèmes choisis pour les débats intéressent. L’idée est de profiter de la période estivale pour échanger autour de ces thèmes ou d’investissements militants sur lesquels nous avons peu le temps de discuter au quotidien. Il ne s’agit pas pour autant d’une université d’été où l’on écouterait la bonne parole ou ferait des cours de rattrapage. Nous souhaitons offrir un espace de dialogue, d’échange formel comme informel. Les débats se tiennent « à la fraîche », à 21h, après le repas du soir. Les journées offrent de vastes temps libres qui peuvent permettre des débats non prévus. Cela laisse la place à toutes les personnes qui voudraient partager une expérience, présenter une lutte particulière... ou consulter la vidéothèque, la librairie et les tables de presse.

Côté pratique, nous sommes accueilli-e-s dans une ferme (élevage en activité) qui met à disposition un local collectif. Ce local a une histoire, il a été construit à la fin des années 70. Au sortir d’expériences de vie communautaire après s’être installé en Ariège pour travailler la terre, il a paru nécessaire de construire un hangar fait de bric et de broc, avec beaucoup de monde pour participer à la construction - des voisins, des gens de la ville et des alentours - afin de créer un lieu collectif, hors du jeu de la société. Il a été inauguré par des jeunes venant de la cité du Mirail de Toulouse. Celles-ci et ceux-ci y passaient leurs vacances en échange d’une aide aux travaux de la ferme. Ce lieu sert depuis toujours à de multiples initiatives que ce soit de la part d’associations locales, ou simplement des activités partagées comme y « faire » le cochon ou des confitures ensemble, réfléchir au « droit paysan » ou bien travailler sur un journal anti-carcéral.
Depuis de nombreuses années les rencontres de l’OCL s’y déroulent, puis en co-organisation avec l’OLS, pour 10 jours de débats en soirée, d’ateliers de réflexion les après-midi et cela chaque été. On peut y ajouter des présences éphémères de personnes qui rêvent à leur installation dans la région.
L’entretien et la gestion du lieu utilisé régulièrement par l’OCL depuis longtemps se font avec les initiateurs et l’OCL pour ce qui est de la globalité ; mais l’aménagement du lieu, les ustensiles de cuisine mis à disposition sont sous la responsabilité de toute personne utilisatrice pour un temps du « hangar ». Il s’agit d’un espace politique au sens premier du terme, qui n’appartient pas plus à qui s’en sert et l’entretient qu’à d’autres ; ce lieu se veut accessible aux nécessités d’organisation de résistance au système dans un esprit d’autonomie, d’indépendance, d’échange et de partage des savoirs et savoirs-faire.

Nous avons à disposition un local comprenant un coin cuisine, une salle de repas, une pièce pour les débats, des sanitaires (douches, lavabos, WC) et des prés pour camper (prévoir une tente, seul mode de logement possible). Pour ne pas gêner les travaux quotidiens de la ferme, un parking pour les voitures (autres que camping-car) est disponible à dix minutes à pied. Pour la même raison les chiens sont malvenus. La vie quotidienne est collective : les repas sont pris en commun et confectionnés par des équipes tournantes. Chaque jour, une équipe s’occupe des courses et des deux repas de 13h et 19h en fonction d’un budget précis. Une seconde équipe s’occupe de la vaisselle, de la propreté des sanitaires, de la salle de réunion et de l’entretien quotidien du lieu.
Les tarifs comprennent les trois repas et les frais de fonctionnement du lieu. Ils sont établis en fonction des revenus par souci égalitaire. Les tarifs journaliers s’échelonnent de 5 à 20 euros selon les revenus  ; le séjour est gratuit pour les bébés mais un tarif de 5 euros par jour est demandé pour les enfants.

Pour plus de renseignements, et s’inscrire à l’avance, s’adresser à  :

  • Organisation Communiste Libertaire, c/o Egregore  B.P. 1213 51058 Reims Cedex
    lechatnoir [a] club-internet.fr
  • Offensive Libertaire et Sociale
    c/o Mille Bâbords 61 rue Consolat, 13001 Marseille
    ols [a] no-log.org

PROGRAMME

Samedi 24 juillet : accueil

Dimanche 25 : infrastructures et aménagement du territoire

Autoroutes, voies rapides, lignes ferroviaires à grande vitesse, aéroports, super-ports maritimes... : le capitalisme globalisé colonise toujours plus les espaces et le temps pour accroître ses profits, et cela au nom du « progrès », du « développement », de « l’intérêt général ». La création perpétuelle de grandes infrastructures favorise les flux massifs de marchandises y compris humaines, contribue à l’accroissement de l’urbanisation et à la concentration des richesses, accentue les inégalités sociales et territoriales.
Pour les espaces traversés, ces infrastructures constituent un désastre écologique, socio-économique, culturel et humain. De plus, les populations sont non seulement tenues à l’écart de toute prise de décision mais encore brutalement réprimées lorsqu’elles manifestent leur opposition.
Nous voulons analyser plus particulièrement les luttes menées contre certains projets d’infrastructure (TGV Lyon-Turin dans le Val Susa, au Pays Basque, Aéroport près de Nantes...) Pourquoi ces luttes naissent-elles dans certains territoires et pas dans d’autres ? Quelles couches sociales touchent-elles ? Quelles sont leurs forces, leurs limites ? Quels rapports entretiennent-elles avec la légalité/l’illégalité, avec les institutions, les élus ? Quelles formes d’action prennent-elles ? Quels liens tissent-elles entre elles et avec des luttes sur d’autres terrains ? Posent-elles des problèmes politiques de fond et amorcent-elles des éléments de projet de société en rupture avec le capitalisme ?


Lundi 26 : Luttes des sans papiers

Un historique des luttes à Calais introduira un débat plus large sur les luttes (voir article de Courant alternatif mai 2010 “La grève des travailleurs sans-papiers : une lutte exemplaire gâchée par les appareil”). On fera aussi un bilan de la marche qui se termine à Nice le 31 mai.

Mardi 27 : Théâtre : Karl Marx, le retour, par la compagnie Calabasse théâtre.

Howard Zinn a imaginé Karl Marx venant aujourd’hui nous rendre des comptes qu’il ne nous doit pas. « J’ai écrit cette pièce à une période où l’effondrement de l’Union soviétique générait une liesse presque universelle : non seulement l’“ennemi” était mort, mais les idées du marxisme étaient discréditées (...). Je voulais montrer Marx furieux que ses conceptions eussent été déformées jusqu’à s’identifier aux cruautés staliniennes. Je pensais nécessaire de sauver Marx non seulement de ces pseudo-communistes qui avaient installé l’empire de la répression, mais aussi de ces écrivains et politiciens de l’Ouest qui s’extasiaient désormais sur le triomphe du capitalisme. Je souhaite que cette pièce n’éclaire pas seulement Marx et son temps, mais également notre époque et la place que nous y tenons. »
Dans cette pièce un acte, on croise Bakounine, Proudhon, sa femme Jenny et ses filles et, bien sûr, Engels. On passe par Paris et la Commune, Bruxelles, Londres.
Seul en scène, un comédien de Calabasse théâtre nous livre l’intimité de Karl Marx, ses œuvres, ses pensées, ses colères, ses faiblesses, son arrogance et sa rage contre le capitalisme d’hier et d’aujourd’hui.


Mercredi 28 : Réflexion sur les services publics et les luttes qui s’y déroulent

La période récente est marquée par de nombreuses luttes dans les (ex ?) services publics : sauvons la poste,mouvements dans les hôpitaux, grèves dans l’éducation nationale « de la maternelle à l’université »... Comment nous positionnons dans ces luttes auxquelles nous participons souvent alors que nous avons toujours critiqué la notion de service public ? Comment analysons-nous leur restructuration et leur privatisation en cours ? La notion de défense des services publics devrait pousser à des modalités de luttes associant les « usagers », elle devrait contenir des germes d’anti-corporatisme. Peut-on l’observer ? Comment, sous quelles formes ? Y a-t-il de réels points communs entre les luttes de ces différents secteurs, ou juste un rassemblement artificiel tenté par les syndicats au nom d’une logique institutionnelle ? Des passerelles entre ces luttes sont-elles possibles sans passer par les fourches caudines de la bureaucratie syndicale ?


Jeudi 29 : Anti répression

La répression dans l’hexagone n’est sans doute pas plus forte qu’à d’autres époques pas si lointaines : qu’on se rappelle le GAL, le massacre d’Ouvea, les nombreuses « bavures des années 86-88 (Pasqua-Pandraud et Mitterrand président). Mais ce qui a changé c’est que cette répression a tendance à trouver en face d’elle un coprs social de plus en plus individualisé et déstructuré. Plus anciennement encore in existait une « sociabilité » des pratiques, un langage, un comportement qui mettait en relation des pans entiers de la population et qui permettait de mieux résister. Les comités qui luttent actuellement contre la répression se doivent de prendre cette réalité en compte et d’élargir la notion de solidarité à la reconstitution d’un corps social moins individualisé et moins groupuscularisé. Œuver à l’ouverture plutôt qu’à une stratégie du camp retranché, ouvrir des champs de parole plutôt que d’invective. Des tentatives et des expériences se font jour… Parlons-en.


Vendredi 30 : être ou ne pas être dans la société

La volonté affirmée d’opposer un “ici et maintenant” aux “calendes grecques” offertes traditionnellement par les différentes tendances gradualistes des mouvements révolutionnaires, pour positive qu’elle soit, peut aussi s’accompagner d’un repli sur des micros milieux, voire uniquement sur soi. Cela peut rejoindre un individualisme classique dans le mouvement anarchiste, mais peut aussi prendre l’aspect d’un regard “esthétique”, et donc distancié et méprisant, sur les autres et sur le monde en général. Or, on ne peut créer des îlots désaliénés au sein d’une société structurellement aliénée, des plages de communisme au sein du système capitaliste, on le sait. Si l’objectif de toute action politique c’est de changer le monde nous devons considérer que c’est dans ce monde aussi, tel qu’il est, que l’on peut trouver des éléments qui tranchent avec la conformité et l’aliénation. Le travailleur n’est pas qu’au robot, c’est sa créativité qui fait aussi fonctionner le système : c’est dans cette manifestation de l’aliénation que résident aussi les éléments qui peuvent rendre le changement possible. Tout militant, aussi radical qu’il soit, n’est pas totalement différent du reste de la population. Militer c’est partir du principe que c’est dans l’action que les chosent changent et évoluent et pas dans le repli où on ne côtoient que ses semblables et sa tribu.

Samedi 31 : quelle type d’orga pour les anars, plateformisme

L’anarchisme, combien de divisions ?

Le développement de luttes et de mouvements à caractère anarchistes à la faveur des luttes anti-mondialisation est un phénomène visible ces dernières années, amplifié pour partie par les nouvelles technologies de l’information telle qu’Internet et le réseau global.
La question de l’organisation de ces forces émergentes se pose au niveau international comme dans chacun des pays concernés, ravivant de vieux débats dans un courant anarchiste historiquement tiraillé, au nom de l’efficacité, entre spontanéisme, unité des libertaires, cohésion politique. Les positions dites « plateformistes » semblent connaître un nouvel essor, ravivant paradoxalement un peu partout dans le monde, des formes européennes d’organisation et de militantisme dépassées tant historiquement que socialement. Comment s’organiser, avec qui et pour quoi faire ? Ces questions restent bien d’actualité, et il n’est jamais inutile de se les poser, à défaut de pouvoir y répondre définitivement…


Dimanche 1er Août : en finir avec la Françafrique

Cinquante ans après les indépendances officielles des anciennes colonies françaises d’Afrique, 2010 a été décrétée Année de l’Afrique par Nicolas Sarkozy.
Mais il n’y a rien à célébrer car, depuis 1960, l’emprise de la France sur ces pays n’a jamais cessé. Les mécanismes du système françafricain ont remplacé et prolongé la domination coloniale.
Ce que l’on appelle la Françafrique, c’est un système très sophistiqué aux multiples rouages qui maintient un joug constant au profit des intérêts français et des élites locales corrompues. Cette oppression, qui prend place dans un système capitaliste mondialisé, est soigneusement entretenue par les diverses institutions internationales et toutes les politiques de développement mises en place depuis la fin de la guerre.
Il est donc urgent et indispensable de détruire la Françafrique comme une des expressions du néo-colonialisme et de l’oppression capitaliste.

Lundi 2 : Libération sexuelle

Si l’on en croit ce qu’on entend partout aujourd’hui, nous vivons dans une société où le plaisir est à la portée de toutes et tous. On a la pilule, l’avortement. L’adultère n’est plus puni. Le concubinage est une chose banale. Les homosexuels peuvent vivre leur vie, voire même se marier, summum de l’égalité avec les hétérosexuel-le-s (Et les lesbiennes ? Et les bi ? Et les autres ?). Tout ça grâce aux mouvements sociaux des années 1960 et 1970 qui, s’ils n’ont pas déclenché une révolution totale, ont du moins permis la libération sexuelle.
Il semble pourtant que certaines questions soulevées par le mouvement féministe des années 1970 sur la sexualité soient retombées, voire passées de mode, que ce soit dans le mouvement féministe ou le mouvement libertaire. Qu’en est-il de la critique du couple et de la famille ? De la
centralité de l’hétérosexualité ? De la notion de consentement ? Ce sont des questions essentielles sur lesquelles nous pourrons échanger pour imaginer ensemble une sexualité libérée.

Mardi 3  : L’éducation populaire, une voie vers l’émancipation ?

L’éducation populaire, en tant que démarche collective et politique, permet de se réapproprier le savoir et par là même le pouvoir sur sa vie. Il est important qu’elle se construise dans l’échange. Â chaque âge, on apprend et on peut apporter des connaissances et des savoirs aux autres…
Il faut défendre l’éducation populaire comme une pratique émancipatrice et un outil de résistance à la culture de masse et aux systèmes de domination. Une éducation populaire pour et par le peuple qui ne soit pas le monopole d’une culture académique et qui ne s’inscrive pas dans un système marchand et consumériste.

Mercredi 4 : Lutte des chômeurs

Le chômage n’est pas le contraire du travail. C’est un moment du travail.
Dans sa formulation présente le problème du chômage, est plus encore celui
de l’emploi de la vie même.
La situation inédite crée par la fusion ANPE/Assedic, le chaos généré par l’augmentation sans précédent des inscriptions au Pole Emploi, le contrôle social et la mise au pas toujours plus grande généré par le RSA et les méthodes des mercenaires de l’ANPE (coach et autres prestataires)impliquaient une réaction. Celle ci se développe ici ou là avec le développement de pratiquesd’autodéfense collective dans les agences Pole Emploi et avec la création d’une coordination nationale lancer une grève des chômeurs ?
Quelles perspectives pour ce mouvement ? Où en sommes nous aujourd’hui ? Comment faire pour recréer le potentiel subversif qu’avait pu susciter les précèdent mouvements de chômeurs ?


Jeudi 5 août : rangement

Plus d’info sur le lieu, les tarifs, l’organisation etc...

P.-S.

Organisation matérielle des rencontres

Un lieu en Ariège
Nous contacter pour les moyens d’accès.

par courrier : egregore - BP 1213 - 51058 reims cedex
par courriel : oclibertaire(a)hotamail(.)com
Téléphone : 05.61.65.80.16 ( à partir du 25 juillet)

Les repas et l’organisation du quotidien

Les repas sont pris en commun et confectionnés par des équipes tournantes. Chaque jour, une équipe "bouffe" s’occupe des courses et des deux repas à heures fixes de 13 h et 19 h en fonction d’un budget quotidien (le petit déjeuner est autogéré service/vaisselle). Une seconde équipe s’occupe de la vaisselle, de la propreté des sanitaires, de la salle de réunion et de l’entretien quotidien du lieu.

Les prix, les tarifs

Ils comprennent les trois repas et les frais des rencontres et sont établis en fonction des revenus par souci égalitaire. Le séjour est gratuit pour les bébés mais un tarif de 5 euros par jour est demandé pour les enfants.

TARIFS JOURNALIERS EN FONCTION DES REVENUS :

5 euros si inférieurs à 400 euros /MOIS
7 euros entre 400 et 700 euros
8 euros entre 700 et 800 euros
9 euros entre 800 et 900 euros
10 euros entre 900 et 1 100 euros
12 euros entre 1 100 et 1 200 euros
14 euros entre 1 200 et 1 500 euros
18 euros entre 1500 et 2000 euros
20 euros si supérieurs à 2000 euros

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6 Messages

  • Intéressant comme programme, j’aurais bien voulu voir ça (notamment deux questions centrales en effet qui sont le 30 et le 31). Si je peux me permettre vous devriez condenser un peu plus les activités : en ce qui me concerne il est absolument impossible que je puisses me libérer dix jours de suite ; trois jours j’aurais peut-être pu faire quelque chose. J’imagine que la situation est un peu identique pour beaucoup de monde.

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    • Rencontres Libertaires d’Eychenat 2010 6 juin 2010 16:34, par OCLibertaire

      il n’y a aucune obligation d’assister aux 10 jours !
      c’est pour cela que l’on demande de prévenir des dates d’arrivée et de départ, pour permettre aux personnes intéressées de tourner, le nombre de participantEs par jour étant limité par les capacités d’accueil de la structure (au dessus de 90 personnes ça frise la promiscuité...)

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      • Oui bien sûr j’imagine. :-) Disons autrement : les dix ou onze thèmes sont bien intéressants, c’est dommage de devoir choisir pour des questions d’emploi du temps ! Allez, bon courage à vous.

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        • Bonjour,

          Je compte me rendre plusieurs jours à ces rencontres.

          Parce qu’il me semble important de mettre en discussion plein de choses entre personnes à peu près sur la même longueur d’onde.

          Le monde va vite et change rapidement en ce moment (depuis ce 2-3 dernières années notamment) et donc il faut essayer de bien comprendre les enjeux de la période.

          A ce propos, il me semble qu’il y a au moins un thème qui manque : celui qui tenterait de comprendre ce qui se passe au niveau de la crise du capitalisme, de la dette publique et des conséquences immédiates et à très court terme : les retraites bien sûr mais aussi plus globalement l’ensemble des mesures d’austérité que préparent le gouvernement pour le budget 2011 (voir à ce propos les mesures annoncées par Barouin) : les fonctionnaires et assimilés, le secteur associatif, le logement des étudiants… Sans parler des autres mesures sur la santé (hôpitaux…), les autres licenciements...

          Comprendre que l’on est bien dans une problématique globale (et au moins européenne) qui ouvre sur une situation assez inédite et qui appelle pour le moins à être pensée globalement et pas seulement sous un angle de type syndical ou redistributif (keynésien) qui de toute façon est totalement périmé.

          Peut-être cela sera-t-il possible d’avoir une discussion là-dessus un après-midi ?

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        • Moi aussi je suis embêté. Les débats qui m’intéressent le plus sont quand je ne peux pas venir... et vice versa.

          Mais je viens quand même. Et puis il y a l’ambiance et des débats informels...

          A+

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  • Rencontres Libertaires d’Eychenat 2010

    21 décembre 2010 16:34, par un voisin

    salut
    j ai ete tres content de ces rencontres meme si je n ai pu venir qu a 2 debats , je reviendrais l annee prochaine et je pense que je m investirais un peu plus dans la gestion quotidienne .
    salutations laborieuses

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