En réponse à :
Février 2019 après l’annonce d’un cinquième mandat présidentiel pour Bouteflika, le hirak (mouvement) algérien persiste, mais avec des mobilisations moins fortes depuis la présidentielle très contestée et contestable du 12 décembre ; et Abdelmadjid Tebboune, qui a remplacé le chef d’état-major Gaïd Salah à la tête du pays, s’ingénie à trouver des interlocuteurs pour faire cesser la contestation du régime. Le camarade algérien que nous avions interviewé en octobre (voir CA n° 294) répond (...)