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Le 13 décembre dernier est tombé le verdict du procès d’Yvan Colonna : la prison à perpétuité, sans peine de sûreté, pour le militant nationaliste corse accusé d’avoir tué à Ajaccio le préfet Erignac, le 6 février 1998. Un verdict aussi sévère que peu surprenant, émanant d’une cour d’assises “ spéciale ” puisque composée uniquement de magistrats professionnels… et chargée, depuis la suppression de la cour de sûreté de l’Etat en 1982, de neutraliser les adversaires de ce dernier.
Au vu (...)