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Des femmes philippines qui se font confisquer leur passeport à l’arrivée à Paris par leur employeur et sont à demeure pour toutes les tâches domestiques de l’aube au couchant. Des ateliers de confection où des travailleuses et des travailleurs chinois travaillaient douze heures par jour pour rembourser un crédit qui n’en finissait jamais. Toutes ces personnes étaient sans-papiers et obligées de travailler « dans des conditions proches de l’esclavage » (Retenez cette formule, elle est de plus en plus utilisée).