En réponse à :
Depuis la fin août, le monde associatif de défense des droits humains est secoué par la réforme des conditions d’intervention dans les centres de rétention administrative. Prisons spéciales pour étrangers sans papiers, ces centres étaient jusqu’à présent ouverts à une association, la Cimade (service œcuménique d’entraide), qui y effectuait des permanences de conseil juridique. Le nouveau ministère de l’Identité nationale, s’estimant sans doute gêné et diffamé dans ses efforts pour bouter (...)