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La machine répressive a mis en jeu des éléments de l’armée, de la police fédérale préventive (unités anti-émeutes), de la police de l’Etat d’Oaxaca et des polices municipales ainsi que des paramilitaires ou policiers en civil. Elle s’est attaquée non seulement à la capitale de l’Etat mais aussi à beaucoup de localités de la périphérie et des deux sierras (Norte et Sur) qui encadrent la vallée centrale, où s’étale la ville d’Oaxaca. Elle s’est particulièrement déchaînée pendant la dernière (...)