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En 1990, les éditions Belin et Souny publiaient conjointement le livre "Limoges la ville rouge, Portrait d’une ville révolutionnaire", écrit par l’historien américain John M. Merriman. Ce livre était la traduction de sa thèse publiée quelques années auparavant par Oxford University Press.
"Au 19e siècle, écrit J. Merriman, c’était Limoges et non Paris, qui était la ville rouge. De toutes les autres villes, seule Narbonne, moins importante, se trouvait aussi régulièrement à l’avant garde (…)
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