En réponse à :
Pendant l’été, la colère des Grecs contre le gouvernement et les instances internationales imposant les mesures de recul social sans précédent (et sans équivalent en Europe) n’a pas eu l’occasion de s’adoucir.
Les mobilisations sociales – qui n’ont pas cessé chez les chauffeurs de taxis, les salariés des municipalités et des hôpitaux – ont donc logiquement repris dès le début septembre avec l’occupation des universités et de plusieurs centaines de lycées, dans les hôpitaux ...
Petit tour dans un pays en pleine effervescence sociale.