En réponse à :
Riposte du gouvernement
Jeudi 13 septembre
Le président sud-africain, Jacob Zuma, jusque-là assez silencieux, a déclaré devant le Parlement que les troubles dans le secteur minier "ne pouvaient plus être acceptés", sans annoncer aucune mesure concrète, lors d’une séance de questions au Parlement.
"Vous savez qu’il n’y a pas que les mineurs en grève, il y a aussi certaines personnes qui vont sur place pour inciter les mineurs à agir d’une certaine façon", a déclaré le chef de l’Etat, sans citer aucun nom. "Cela ne peut pas être accepté, et nous allons nous en occuper. Nous allons (...)