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Le 4 octobre, comme le 10 mars, des centaines de milliers de salariés sont descendus dans la rue. Avec une forte proportion de salariés du privé et le conflit de la SNCM en toile de fond.
DES RAISONS DE SE RÉVOLTER
La situation sociale ne cesse de s’aggraver. La précarité se généralise, le nombre de RMIstes explose. La situation actuelle des RMIstes est significative : c’est le travail précaire forcé et le flicage social, ou bien la radiation et l’élimination. Dans le même ordre (...)