En réponse à :
Y aurait-il quasiment aucune intersection entre le mouvement des banlieues de l’automne 2005 et les mobilisations lycéennes et étudiantes du printemps dernier ?
Selon certains analystes, les émeutes de banlieues ont été l’œuvre " des classes dangereuses " (certains utilisent le vocable : "lumpenprolétariat") qui luttent (sans revendication) contre "l’impossibilité de vivre au présent" tandis que le mouvement des scolarisés du printemps 2006 a été assimilé à un "mouvement dans les classes (…)