En réponse à :
Des émeutes de novembre 2005 qui ont secoué les zones urbaines les plus pauvres, le gouvernement a tiré des leçons qu’on pourrait juger paradoxales. Prenant prétexte de la révolte des jeunes des banlieues-ghettos, il applique à l’éducation une forme d’état d’urgence. Par « la fenêtre de tir » qu’a ouverte la crise des banlieues, le gouvernement mitraille les scolarisés en difficulté d’une pluie de mesures et d’effets d’annonces qui semblent au premier abord proclamés à la hâte. En apparence, (…)
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