En réponse à :
Lorsque s’additionnent une très grave maladie, des soins médicaux conditionnés par des décisions politiques à courte vue, et un patient halluciné par le pouvoir, seule une telle fin était attendue : le chef est mort, et alors, nous nous retrouvons avec un changement substantiel sur la scène politique vénézuélienne.
En un instant, ce qui fut la plus grande force du régime est devenu sa principale faiblesse : Chávez était tout et, s’il n’est plus là, il ne reste plus qu’à conjurer la fidélité absolue à sa (...)