En réponse à :
La démarche consistant à réfléchir sur les liens entre domination masculine et capitalisme, entre lutte des femmes et lutte des classes, est assez rare de nos jours pour qu’on ait envie d’en parler quand elle se présente. D’autant que le collectif auteur de Genres et classes, l’insurrection généralisée qui détruira les hommes et les femmes (1) explique ce choix « épineux » par son désir de dépasser les « clichés militants » et les analyses datées pour contribuer à un débat indispensable.