En réponse à :
Derrière la question des retraites, comme de celle du chômage, se dissimule celle, centrale du travail.
Nous, prolétaires, par définition, sommes contraints de vendre notre force de travail, physique et/ou intellectuelle, à un patron privé ou à l’État. Jusqu’à présent un minimum de conditions de travail, de retraite, de chances de survie en état de chômage, acquises par les luttes, garantissaient peu ou prou une existence possible au travailleur. Aujourd’hui, la casse méthodique et (...)