En réponse à :
Du 3 au 27 octobre (1), les personnes arrêtées le 8 décembre 2020 passent en procès au tribunal correctionnel de Paris pour « association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes ». Dans cette affaire montée par la DGSI (2), de nombreuses incohérences ont été relevées, mais l’institution judiciaire continue de suivre les fantasmes policiers.