Courant Alternatif 307 février 2021
mercredi 10 février 2021, par
La première partie de cet article est à retrouver dans CA, n° 306 de janvier 2021, qui présentait des informations et analyses issues de « Homo Detritus » de Baptiste Monsaingeon (éd. Seuil, 2017).
Ici sont abordées l’organisation du secteur du recyclage, les conditions de travail et les luttes.
Le secteur du déchet existe dans sa forme actuelle grâce à un mille-feuille législatif et réglementaire de compétences qui se décline ainsi : européen (directives), national (lois et décrets), régional et départemental (planification et gestion), communal et intercommunal (collecte et traitement) [1].
À ce dernier niveau, toutes sortes de formes d’organisations sont possibles : régie publique (fonctionnaires territoriaux), délégation de service public (DSP) -la collectivité contractualise tout ou partie de l’activité à une ou plusieurs entreprises privées- ou Partenariat Public-Privé (le plus juteux pour les entreprises). Dans de nombreux cas, tout cela peut se mélanger. À Lyon, un des deux incinérateurs est en régie publique, l’autre en DSP (Sita Suez) et, selon les quartiers, les poubelles sont ramassées par des fonctionnaires municipaux, Suez, Pizzorno ou leurs sous-traitants.
En 2016, le secteur compte 8 200 entreprises, 111 650 emplois directs et pèse 20,5 milliards de CA (source INSEE). La compétition est donc féroce entre capitalistes sur ce secteur juteux où l’entreprise est payée (dans le cadre de contrats longs) par la collectivité (via la taxe d’enlèvement que paie chaque foyer) pour traiter et valoriser les déchets qu’elle pourra vendre sur le marché des matières premières secondaires. Il est dominé par des multinationales (Veolia, Suez,..) mais il est marqué par la montée en puissance de nouvelles entreprises (ex : Paprec, Pizzorno) aux méthodes particulièrement brutales (en interne comme en externe) pour conquérir des marchés où le moins-disant social et les relations politico-financières sont la norme. Ainsi dans la Métropole de Lyon, Paprec, l’ordure qui monte, a récemment flingué l’opérateur historique, Veolia, du traitement des déchets, tout comme Pizzorno a liquidé Suez de la collecte qui était sa chasse gardée depuis des décennies. Dans tous les cas, (comme pour la gestion de l’eau), les liaisons opaques et mafieuses entre politiques et entreprises génèrent régulièrement des scandales et procès pour corruption, favoritisme, appels d’offres truqués, prise illégale d’intérêt et autres abus de position dominante.
Prenons Pizzorno qui est devenu, en 2017, le premier opérateur privé de la Métropole de Lyon, tout comme à Paris et Grenoble. Née dans le Var où elle possède une des plus grandes décharges de France (au Cannet-des-Maures), l’entreprise y a été condamnée en 2010 pour avoir enfoui en douce 200 000 tonnes de déchets. Et, « en décembre 2016, une douzaine de personnes ont ainsi été mises en examen pour "favoritisme" et "prise illégale d’intérêt" dans le cadre du marché public de l’incinérateur de Toulon. Un contrat évalué à 470 millions d’euros attribué à Pizzorno en 2012. » [2]
Pizzorno a aussi de grosses poubelles au cul en Tunisie pour « avantage injustifié » suite aux activités de lobbyiste de François Léotard auprès du régime Ben Ali, tout comme au Maroc en 2012 où sa « gestion exemplaire » (dixit la Banque Mondiale) de la méga-décharge d’Oum Azza a provoqué une énorme pollution des eaux souterraines par les métaux lourds et un procès.
Au menu de ce plantureux repas, figurent les éco-organismes et leurs éco-contributions. Il existe en France une vingtaine d’éco-organismes correspondant chacun à une filière de production et de distribution (pneus, matériel électronique, habillement…) prenant en charge la Responsabilité Élargie du Producteur (REP) à savoir la gestion de la fin de vie des produits de chaque filière.
Ces sociétés de droit privé détenues par ces mêmes producteurs et distributeurs assurent une mis-sion de service public et doivent être agréées par l’État. Leurs ressources proviennent des éco-contributions que chaque acheteur paie pour l’achat d’une multitude de produits : bouteille plastique ou en verre, pot de yaourt, ordinateur, meuble, médicament… 1,5 milliard d’euros sont ainsi collectés annuellement. Il s’agit d’une taxe (caractère d’obligation) mais qui est versée en intégralité à une société privée. Celle-ci ne doit pas réaliser de bénéfices (ha ! ha !) et avoir une gestion de bon père de famille (interdiction des activités spéculatives) afin de financer la recherche et l’amélioration de la gestion des déchets par les collectivités. Ce système, « autogéré » par le patronat avec la bénédiction de l’État, se devait d’être un modèle de vertu libérale et environnementale. Las, les mauvaises habitudes et l’inventivité financière ont la vie dure. En 2008 avec la crise des subprimes, on découvre que le directeur-général d’Éco-emballages a placé « ... de 1999 à 2007... près d’un tiers de cette trésorerie, soit, au total, 283 millions d’euros, dans trois fonds spéculatifs logés dans des paradis fiscaux, les îles Bahamas,Vierges et Caïman. » [3] Les pertes s’élèvent à 71 millions, dont 21 à 26 millions seront définitivement perdus dans des circuits opaques. Cela n’empêchera pas Éco-emballages, devenu Citeo, d’être à nouveau conventionné pour gérer les 750 millions que rapporte annuellement la taxe sur les emballages. Les gauchistes de la Cour des Comptes [4]constatent que les éco-organismes sont devenus des machines à collecter des fonds qui ne sont pas ou peu utilisés, voire qui sont détournés. « Éco TLC (recyclage des vieux vêtements) a placé depuis 2010, en moyenne, 93 % de ses fonds, et Écosystèmes (appareils électriques et électroniques) disposait en 2013 de 196 millions d’euros de provisions, soit une année de dépenses. » [5] Les salaires et frais de fonctionnement explosent : chez Screlec (piles et batteries), Recylum (lampes), Écologic (électronique), ils représentent jusqu’à 17% du budget avec des salaires annuels dépassant les 300 à 400 000 €. Pourtant la plupart d’entre eux ne parviennent pas à atteindre les objectifs de recyclage fixés par l’État. En 2016, CITEO recyclait 55% du papier pour un objectif de 65% et 68% du plastique pour un objectif de 75%.
Pourquoi se gêner ? Comme tout bon État, celui-ci n’a jamais appliqué les pénalités, amendes, re-traits d’agrément prévus par la loi. Pour eux, à vie, c’est poubelle la vie !
On peut découper l’industrie du déchet en deux types d’activités : celles de la propre-té/collecte/gestion représentées par la FNADE (Fédération Nationale des Activités du Déchet) avec de très grosses entreprises, et celles du recyclage/valorisation représentées par la Fédération des entreprises du recyclage, la FEDEREC, plus récente. Comme rien n’est simple, les membres de la FNADE ont des activités de recyclage/valorisation (ex. les déchèteries tenues par Veolia) et les joyeux lurons du recyclage se lancent avec succès dans la collecte des ordures. Ainsi un des fleurons de la FEDEREC, Paprec -qui avait débuté comme une PME du recyclage du papier- est devenu en 2016, sous l’impulsion de son proprio Petihuguenin, le numéro 3 de la gestion de déchets en France avec le rachat de la Coved (filiale de SAUR, elle-même filiale de Bouygues). « Le regroupement de ces deux entités nous permettra de nous positionner en tant qu’acteur majeur de la gestion globale des déchets en France et à l’international. » [6] Le chiffre d’affaires devrait passer de 950 millions à 1,5 milliard d’€ en 2018 et le nombre de salariés de 4500 à 8000. Mais dans ses ha-bits recyclés tout neufs du déchet, Paprec a très rapidement pris les bonnes habitudes du milieu.
En 2018, le Canard Enchaîné révèle que ses décharges de la Côte-d’Or et de l’Yonne (ex-Coved) continuaient à recevoir clandestinement des déchets du bâtiment interdits de mise en décharge de-puis des années : plâtre, fibrociment amianté, placoplâtre… Pour une entreprise dévouée à l’économie circulaire et au sauvetage de la planète, ça la fout un peu mal, d’autant que Paprec se présente comme LE spécialiste des déchets du bâtiment. Au développement durable ils préfèrent définitivement le développement du râble.
Le secteur des entreprises spécialisées dans le recyclage/valorisation s’est fortement développé depuis une vingtaine d’années, porté par les préoccupations environnementales, les politiques publiques de Réduction/Recyclage/Réutilisation et le développement d’un marché et de profits associés à « l’économie verte ». Il comprend environ 1300 entreprises et 2500 sites. 90% de celles-ci sont des PME (29% de moins de 6 salariés, 25% de 6 à 20, 36% de 21 à 100). Les 23 000 salariés (en 2013) sont à 78% des hommes. 81% sont ouvriers ou employés. 89% ont un niveau de diplôme très bas : absence totale de formation (26%), CAP (50%), Bac Pro (13%). Les salariés sont souvent issus de l’immigration avec, selon des régions et entreprises, de nombreux primo-arrivants avec ou sans papiers (cf. la grève des sans-papiers de Paprec en 2008). Les femmes sont cependant assez présentes sur des postes de production mais elles représentent 50% des cadres et sont plus nombreuses que les hommes parmi les agents de maîtrise, [7] ce qui peut être un indice supplémentaire de la dévalorisation de ces métiers dans nos sociétés. En terme de fréquence d’accidents du travail, le secteur « collecte, traitement et élimination des déchets » est dans le peloton de tête avec le bâtiment et la logistique. En terme de gravité, « la production et distribution d’eau -assainissement, gestion des déchets et dépollution- fait partie des secteurs avec la construction et les industries extractives où les accidents sont les plus graves. » Le nombre de maladies professionnelles est en hausse : en 2014, 104 contre 86 en 2013. Les risques et maladies professionnelles sont nombreux. C’est la double peine : à ceux liés à l’activité en elle-même (risques de chutes, de manutention, de déplacements, mécaniques, le bruit, la chaleur) s’ajoutent les risques chimiques, microbiens et biologiques liés aux différents types de déchets et leurs émanations : amiante, seringues, mercure, plomb, gaz toxiques...
S’y ajoutent les pratiques d’un patronat qui traite ses salariés comme des déchets humains, comme chez Paprec, à La Courneuve, où « les ouvriers travaillent dans des bâtiments vétustes et mal organisés, où le risque est permanent. Au lieu de trier les bennes de papier au sol, on les oblige à monter sur des tapis roulants qui ne sont pas prévus pour. Ils bossent donc en se déplaçant à travers un flot de déchets, pour éviter de se faire happer par la broyeuse qui est derrière eux ou bien par les énormes tractopelles qui continuent à déverser les déchets juste devant… À un niveau inférieur, confi-nés dans des cuves en béton, des trieurs en masques et combinaisons blanches ramassent à la main des montagnes de paperasse, dans des nuages de poussières. La situation est à peine mieux pour les chauffeurs, contrôlés par géolocalisation à la minute près tout en étant contraints de dépasser régulièrement les temps de travail réglementaires. » [8]
Le secteur a connu, depuis ses débuts, de fortes évolutions en passant du stade artisanal du tri manuel dans de petites structures relativement protégées (entreprises d’insertion ou adaptées, par ex.) à une industrialisation accompagnée de la mécanisation croissante des opérations : tri optique, souffleries, intelligence artificielle... Ce qui a permis d’augmenter considérablement les rendements et les cadences et, en conséquence, la charge de travail des salariés et la dégradation de leurs conditions de travail et de salaire. La recherche permanente d’une baisse des coûts de production a rencontré un monde peu connu, celui de l’Insertion par l’Activité Économique (IAE). En 2017, il représentait plus de 136 000 salariés répartis en 3680 structures, majoritairement des chantiers et associations intermédiaires. Ces structures sont liées à des activités de proximité, non délocalisables et très gourmandes en main-d’œuvre. Les Entreprises d’Insertion (IE) en font partie. Elles emploient environ 15 000 personnes. Leurs statuts sont variés : SA, SARL, EURL, SCOP, associations. Elles sont « ... soumises aux mêmes règles fiscales, juridiques et économiques que toute entreprise classique. Elles se distinguent par leur finalité : l’insertion sociale et professionnelle des personnes exclues du marché du travail (demandeurs d’emploi de longue durée, allocataires des minimas sociaux, jeunes sans qualification, etc.). » [9]
Les salariés sont en Contrat à durée déterminée d’insertion (CDDI) d’une durée maximale de 24 mois. L’accompagnement socio-professionnel obligatoire des salariés leur permet de « construire leur parcours ». Leurs activités sont aux conditions du marché et leurs ressources proviennent de 80 à 90% de la commercialisation des biens et des services qu’elles produisent. Elles sont conventionnées par l’État et bénéficient de financements et d’aides de l’État et de collectivités (10 à 20 % des ressources). Souvent des entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI) récupèrent les salariés issus de ces entreprises. La Fédération des Entreprises d’Insertion fait le job pour vendre ses activités au privé en leur apportant un supplément d’âme. Faire appel à une EI permet d’avoir accès à une main-d’œuvre dans des secteurs où celle-ci est rare (en « tension ») : transport, BTP, propreté, agriculture, environnement..., permet de faciliter la mise en place d’une démarche de RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), de remporter un marché public incluant une clause sociale qui « conditionne l’exécution ou l’attribution d’un marché en fonction de critères liés à l’emploi ou à la lutte contre les exclusions. » [10] Enfin, leur expérience de plus de 30 ans dans la gestion et le recyclage des déchets en fait des partenaires incontournables pour les entreprises de toutes tailles. Les EI avec leur main-d’œuvre précaire, soumise, peu coûteuse, connaissent un succès certain dans la course permanente à la baisse des coûts et dans les opérations de Greenwashing des grandes boîtes du déchet.
Depuis peu, aux partenariats et à la sous-traitance s’ajoute la création par celles-ci de filiales spécialisées dans l’insertion par le recyclage. Citons : Nouvelle Attitude (recyclage des papiers de bureau), créée en 2007 et devenue une filiale de la Poste en 2011, et Elise pour Veolia propreté.
Le « groupe Sita (Suez) a créé, il y a dix ans, sa propre entreprise d’insertion : Sita Rebond. « Filiale à 100 % du groupe, elle entretient avec lui une relation d’exclusivité... » [11] Celle-ci peut aller concurrencer frontalement les grosses associations d’insertion du secteur, type Emmaüs. Paprec a un partenariat avec ATF Gaia (matériel informatique) qui emploie 80 % de travailleurs handicapés. Paprec encore, avec sa « joint-venture sociale tripartite », avec Fastroad (transport) et Le Petit Plus (recyclage) qui emploient des travailleurs handicapés, vise loin. Car « l’intégration de travailleurs en situation de handicap fait partie des piliers de la stratégie durable des achats de Paris 2024... Cette évolution... se superpose correctement aux Jeux de Paris 2024, cet événement constituant de nou-veaux débouchés potentiels. » [12]
Derrière l’inclusif, le retour à l’emploi pour les plus fragiles, l’humanisme et le social toujours, il y a le business. Masqué par le blabla de l’inclusion, du retour à l’emploi des plus fragiles et les pleurnicheries humanistes, le secteur du recyclage a un besoin permanent d’une main-d’œuvre recyclée, issue des gisements gigantesques de l’exclusion, de la précarité, de la misère sociale et du chômage de masse Pour continuer à faire du business et se développer.
Mais, ce milieu adepte des vertus de l’économie circulaire, du verdissement de ses activités, ce monde d’après conserve et pratique toujours les vieilles méthodes de répression patronale du passé.
C’est encore Paprec qui rafle la mise. Depuis les élections professionnelle de 2016 dans son usine de La Courneuve, la direction est en guerre contre la CGT et son représentant syndical Mahamadou Kanté. La CGT est perçue, à la différence des syndicats maison (UNSA et CFTC), comme un dan-ger mortel pour la stabilité de l’entreprise. On comprend mieux cette haine au vu des conditions de travail qui règnent sur le site. [13]
M. Kanté est rétrogradé, agressé physiquement fin 2016, mis à pied, muté. La direction lance une procédure de licenciement, puis une seconde. Elle perd mais re-fuse sa réintégration... De février 2017 à mars 2018, il ne touche pas de salaire. En 2018, il est séquestré par trois cadres et un huissier pour lui faire signer une nouvelle fiche de poste. Depuis sa réintégration, les salariés sont espionnés, convoqués, voire licenciés pour l’avoir approché ou tenté de faire grève. Ce qui n’empêche pas, fin novembre 2018, les chauffeurs de l’entreprise de se mettre en grève contre la répression syndicale, le racisme de cette entreprise si inclusive et les conditions de travail.
L’industrie du déchet est marquée par des luttes sociales parfois assez importantes, principalement dans le secteur de la collecte. Les monceaux d’ordures, la puanteur, les rats qui courent, leur assurent une forte visibilité. En 2007 à Marseille et Paris, les rippeurs de Sita (Suez) ont mené des luttes massives (99 % de grévistes à Paris selon la CGT) pour obtenir des augmentations et une harmonisation salariale entre les diverses sous-filiales du groupe. Au printemps 2019 à Lyon, deux mouvements de grève parallèles (éboueurs municipaux et Pizzorno) ont gagné, après, pour Pizzorno, 15 jours d’une grève dure avec piquet de grève. Lors des grèves contre la réforme des retraites, des grèves longues (janvier-février 2020) ont touché Paris et Marseille. À Paris, elles ont touché la collecte, le stockage et les incinérateurs avec de grosses pertes (14 millions d’€) pour le Syctom qui gère les incinérateurs et vend la vapeur produite au chauffage urbain parisien. Des grèves se déroulent aussi dans de petites entreprises. En 2001, la moitié des 80 salariés d’O. Hersand, entreprise de recyclage de vêtements (Sarcelles), se mettent en grève pour des augmentations salariales et un 13ème mois. En novembre 2019, les 10 chauffeurs d’Alpha recyclage composite (entreprise toulousaine de recyclage de pneus) qui récupèrent des pneus dans le grand Est et le Massif Central, se mettent en grève contre la suppression de leurs primes. Après 10 jours de lutte, ils obtiennent gain de cause. En revanche, dans les entreprises d’insertion cela semble être le calme plat. Ces mouvements sont classiques : revendications salariales, conditions de travail, progression de carrière éventuellement, luttes contre les pratiques des directions : harcèlement, répression syndicale, pratiques racistes. Elles n’intègrent pas (encore ?) dans une perspective d’écologie sociale les buts et finalités sociales et environnementales de ces activités, ce qui pourrait être une force supplémentaire ; mais ceci est une autre histoire.
Freux et Eugene the Jeep
[1] Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD). ADEME. 2016
[2] Les casseroles de Pizzorno, le nouveau roi des poubelles lyonnaises. Rue 89 Lyon du 21/01/2018 (repris de Médiacités)
[3] Affaire Éco-Emballages : les administrateurs jugés co-responsables de la dérive financière. Isa-belle Rey-Lefebvre. Le Monde du 17/07/2017
[4] Les éco-organismes : une performance à confirmer, une régulation à renforcer. Rapport public annuel 2020. Cour des comptes
[5] Éco-contributions : le grand gâchis des taxes sur le recyclage. Aurélie Lebelle, Mathieu Pelloli. Le Parisien du 16/08/2018
[6] Paprec rachète Coved et devient n°3 en France. Bâtiment du 20/12/2016
[7] « L’amélioration des conditions de travail dans les activités du recyclage de déchets » - Synthèse documentaire. ANACT. 2016
[8] PAPREC : du sale dans le tri des déchets. La Plateforme d’Enquêtes Militantes du 30/10/2018- Repris sur Paris Luttes Infos
[9] Les Entreprises d’Insertion (EI). Fiche technique AVISE DLA. 2016
[10] Faire appel à une entreprise d’insertion. Fédération des entreprises d’insertion (sans date)
[11] Les majors du déchet partenaires de l’économie solidaire. Environnement magazine du 01/12/2012
[12] Découvrez la joint-venture sociale tripartite entre PAPREC, Fastroad et Le Petit Plus. ESS 2024
[13] Paprec : une entreprise qui traite ses salariés comme des déchets ! Vidéo de la CGT Paprec